Pour me payer mon précieuuuux (aka le Zadig & Voltaire de mes rêves), je vends deux sacs que je possède. Les voici donc :

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Instant mouillage de canapé…

Pour les nympho, allez voir par là.

Non, j’ai même pas honte, d’abord. C’est parfaitement sain tout ça.

Tagguée par Fafa, je m’y colle !

Quelle heure est-il ?

Au troisième bip, il sera exactement 22 heures et 7 minutes.

Mai rime avec…

Gay. Pardon. Je suis une grosse obsédée du culcul et de la foufoune.

As-tu embrassé ton canari ?

Non, mais je l’ai indirectement tué. Je voulais le caresser, donc je l’ai sorti de sa cage (pensant que ça allait le détendre, GENRE). Evidemment, ce con est allé se planquer derrière le frigo. Comme j’étais seule à la maison, et que mes parents n’avaient pas de téléphone portable à l’époque, j’ai appelé mes grands-parents. S’en est suivi un incident diplomatique à base de “vous laissez cette pauuuvre enfant touute seule”. J’ai fait le même lâcher de canari avec 3 canaris différents. Pour ta gouverne, c’est super chiant à récupérer un canari. Et j’ai tué des mini-tortues en voulant les nettoyer avec du liquide vaisselle aussi. Va-y, tu peux me dénoncer à la SPA.

Où vas-tu tout à l’heure ?

Au lit, mais avant j’irai faire pipi, parce que j’aime pas me faire réveiller la nuit par ma conscience qui me dit “si tu pisses au lit, c’est trop la honte quand même, allez, bouge ton gros cul de feignasse, va jusqu’aux chiottes, allume la lumière et défonce-toi les yeux, ça t’apprendra à pas y aller avant de te coucher”.

Ecris cette phrase sur le blog de la personne qui t’a laissé le dernier commentaire : “Le soleil de mai réchauffe”.

De 1, ta phrase elle est toute moisie, de 2, je me refuse à salir le blog si pur et vierge de toute merde de Princesse Soso.

Que faisais-tu le 5 mai 2005 ?

D’après mes calculs, j’étais en première année de fac. J’étais donc encore une étudiante studieuse (avant de passer par la phase “fuck les études, fuck les parents, me font chier, se lever à 8h c’est in-hu-main, non mais sérieux quoi, grave sa race” et de trouver un équilibre entre révision et décompensation par imitation féline). Mais je révisais pas, non. Puisque j’étais en pleine effervescence pre-représentations à l’atelier théâtre. Et même que mon super déguisement Amidala-like était une grande partie de ma stratégie de séduction de l’Homme (et ça a marché, putain ce que c’est con un fan de Star Wars).

Au prochain coup de téléphone, réponds “à l’huile” si t’es cap.

Ce sera demain matin, ma mémoire de moucheron m’aura fait défaut. Mais je te tiens au courant.

Le lien n°5 de tes favoris ?

J’ai pas de liste de favoris, ou plutôt, j’en ai plusieurs : dans la barre sous la barre d’adresse il y a tout un bordel, et je me sers beaucoup du damier dans Safari 4. Donc, comme la barre est illisible, je prends en compte le damier, et je tombe sur le Café Pédagogique (putain la honte, je passe pour une intello, alors qu’il est entre vie de merde, pageflakes, facebook, un forum de greluche, le journal du geek et ma bimbo).

Le dernier film que tu aies vu au cinéma ?

Il me semble que c’est LOL (et non, bien sûr que non, mes hormones n’ont pas explosé quand la jeune fille se fait dépuceler par un bel ado joueur de guitare). Ca compte si j’ai regardé 3 fois Twilight en VF et en VO à la maison en streaming (là où la jeune fille se fait pas dépuceler par le encore plus bel ado)(je veux pas faire ma chieuse, mais ça manque sérieusement DE CUL cette saga).

La première fleur que tu vois près de toi ?

Ya pas. Le chat bouffe tout. Ah si, une orchidée crevée, que ça fait 6 mois que la tige est desséchée, mais le pot est toujours là.

Voilà, mon esprit hyper logique qui a refusé de mettre une phrase moisie sur le blog de Princesse Soso réclame qu’elle pourrisse son blog avec ce tag. Et emanu aussi, tiens, ça lui fera les pieds à celle-là.

Désolée pour ce silence inhabituel (aheum), mais ces derniers jours ont été chargés en émotion.

Mes examens sont finis, j’ai du mal à intégrer que la fac, c’est “fini pour toujours” (oui parce que l’IUFM n’est pas sur le campus et ce sera une ambiance différente). Au revoir le campus, au revoir les bâtiments, au revoir les bâtiments bloqués, au revoir les cinq dernières années de ma vie. Enfin bon, je ne mets pas la charrue avant les boeufs, j’ai pas encore les résultats, mais ça devrait aller.

Je me suis coupée les cheveux, j’aime beaucoup.

Je suis admissible à l’IUFM de Strasbourg (pas admise, attention, c’est différent, je dois encore envoyer un dossier et les résultats définitifs seront le 10 juillet).

Je suis presque en vacances, vu que je bosse encore, mais je vais souffler, j’ai prévu plein de choses : pique-nique avec les copines, sans oublier la glacière par une chaleur pareille, piscine avec les copines, shopping avec les copines, Toulouse, passer des journées chez mon parrain à faire les marchés aux puces-glander dans son jardin paradisiaque-manger de la tarte flambée maison aux trompettes de la mort, aller dans les gorges du Verdon (Suède annulée)…

Va falloir en profiter, dans 3 mois je démarre l’enfer…

Oui, parce qu’on va parler de tout et n’importe quoi aujourd’hui.

Premier papotage :

Hier j’ai passé mon concours d’entrée à l’IUFM. Un peu dégoûtée parce que les maths étaient faciles, et donc à la portée de tout le monde. Estimation des résultats impossible : d’après mes calculs, mon score varie entre 92 et 141 points sur 200. Autant dire que je sais pas. Maintenant je vais flipper pendant 10 jours. Je joue quand même légèrement ma vie là…

Deuxième papotage (et non pas second, parce que quand tu dis second c’est que ya pas de troisième)(c’était l’instant “langue française”) :

J’ai pris rendez-vous chez le coiffeur. Pas n’importe quel coiffeur. Celui qui, avec ma copine, a passé 1h heure (oui oui, une heure entière) à discuter d’elle, de ses envies, de son caractère, pour lui trouver la coupe et la couleur idéale. Je n’en attends pas moins de sa part concernant ma frange, que je sais pas quelle longueur je veux qu’elle ait. Pour l’instant je suis partie sur ça, sauf que c’est joli comme ça sur la photo mais si ça l’était pas autant en vrai sur moi et puis c’est peut-être un peu court enfin je sais pas vous me conseillez quoi vous ?

Troisième papotage :

L’autre jour, après les révisions, pour décompresser, avec ma soeur de souffrance, nous sommes allées faire du shopping (mais j’ai rien acheté, je suis toujours en shopping-ban). Par un hasard totalement inexpliqué et non-prévu, Zadig & Voltaire était sur notre route. J’ai eu la force d’entrer, alors que j’étais vêtue comme une pouilleuse, et que je risquais à tout instant de me faire étouffer par une vendeuse avec un pull en cachemire pour avoir osé cet affront. J’ai maté touuus les sacs, mais je n’ai pas vu “le précieuuux“. Alors j’ai demandé, carrément (même pas peur). La nana est exprès allée me le chercher en réserve, genre “blablabla c’est le dernier hein”. Je l’essaye, magnifique, sublime, je sors le papier journal pour voir si la pochette de cours rentre, oui ça rentre. Je commencais à m’y faire, mon oeil s’habituait, le coup de foudre. J’étais en lévitation. Et là, la vendeuse : “vous savez combien il coûte, hein ?”

BAM ! Retour sur terre. Connasse, OUI je sais combien il coûte, si je connais le nom du modèle à ton avis ?! Mais t’as certainement peur que je te l’abîme en l’essayant, puisque vu mon accoutrement, je ne suis pas digne du sac, que c’est comme donner de la confiture aux cochons !

Je l’ai donc enlevé, lui ai foutu dans les bras (après avoir éparpillé du papier journal partout), en disant “oui, il est trop cher ! Je reviendrai pendant les soldes !”. Et je m’en suis allée comme un prince (ou une princesse, c’est selon).

M’en fous, je vais revendre mes sacs actuels (je ferai prochainement des photos, mais si l’une de vous est intéressée par un Darel 24h marron et un Longchamp collection vintage, qu’elle reste dans les parages), et quand je reviendrai l’acheter, je déposerai sur le doux visage de la vendeuse ma salive princière, qu’elle pourra revendre à prix d’or.

Quatrième papotage :

Mes patrons se foutent de ma gueule. Pour la naissance du petit, j’avais acheté des petits chaussons en cuir, adaptés pour la marche blablabla, taille 1 an. La mère avait a-do-ré. Ouais sauf qu’en ce moment, il a aux pieds des petits chaussons en cuir, taille 1 an, mais pas les miens. Elle en a acheté d’autres. Sympa. De plus, sur le “cahier de correspondance”, je vois marqué “Lisa 4 juin ?”. Aaaah, le 4 juin c’est l’anniversaire du petit, peut-être que je suis invitée. Non, en fait je dois juste bosser le matin. Ce qui fait que pour son anniversaire, j’ai envisagé très sérieusement de lui acheter une crécelle, pour qu’il s’éclate en les emmerdant À MORT.

Finalement je me suis assagie, et j’hésite entre le train musical (mais il a déjà plein de jouets dans le genre) et les aquanimaux (mais il y a déjà plein de jouets dans le bain).

A votre avis ?

Hier j’ai révisé intensivement pendant 6 heures. A la fin j’étais même plus foutue de lire une phrase jusqu’à la fin, mes yeux faisaient “zwouiiiip” pour aller ailleurs, j’en ai déduis qu’il était temps de m’arrêter.

Je crois que j’ai poussé le bouchon un peu trop loin, puisqu’en rentrant, j’ai commencé à faire un calin à l’homme. Faire un calin, c’est pas inquiétant. Imiter le chat, ça l’est.

Je me suis donc frottée la tête et le corps, en miaulant et ronronnant.

Et ensuite je me suis roulée par terre, je rigolais comme une baleine.

Mais point de repos pour moi. Aujourd’hui boulot et en même temps révision du français pour le qcm d’entrée à l’IUFM. Demain à 7h45 je dois être là où se déroule ce qcm (ben ouais, appel à 8h30, mais ya pas de place de parking à proximité, ça va être la guerre). Dimanche sera ma seule grasse-mat’, et encore.

Mais mercredi soir, ça va saigner.

Je vous préviens si j’imite d’autres animaux.

(Au fait, c’est Anthony, le black, qui gagne top coiffure)

C’est du grand art. Cindy Sander is back, mit effets power point, mit gilet à capuche en sequins, version “eh, zyva, chui trop une kaïra, me fais ma iech, sinon jte défonce ta gueule ta mère la fille de joie”. Cindy Sander, elle est “très distinguée” (référence inside, qui c’est qui la trouvera ?), on dirait qu’elle a du sperme sur les lèvres.

Cindy Sanders est aussi très douée en synthaxe, puisque je vous présente son nouveau tube : LE SECRET DE NOUS (et pas “notre secret”, sinon sa super rime marchait pas) !!!